J'avais décidé de montrer ce que donnerait la liberté d'expression dans un pays oppressé par une loi aussi liberticide que favorable aux majors, mais je sors de mon mutisme afin de soulever un problème de société, quitte à passer pour le dernier des machos de France.
Aujourd'hui, 8 mars, la journée internationale de la Femme pointe le bout de son nez. Pour remettre les choses dans leur contexte, cette journée est une continuité des luttes d'il y a 30 ans, époque où, à juste titre, la femme ne se sentait pas l'égale de l'homme dans la société moderne. Or, de nos jours, cette tradition feministe se perpetue, revendiquant toujours la même chose (ben voyons) car il n'y aurait soit disant toujours pas l'égalité tant promise, tant rêvée pour les représentantes de la gente feminine.
Si dans le monde du travail il s'avère que cela pourrait s'averer vrai que l'inégalité subsiste, dans beaucoup de compartiments elles ont prit le pouvoir. Il n'y a qu'à voir la façon dont la femme dirige sa vie de nos jours, alors que cela paraissait pure utopie il y a des années. Elles choississent leur carrière, leur vie, leur homme, leur voiture et bien souvent sont indépendantes et par là prônent des critères d'exigence qui n'existe pas pour leur idéal de vie. En gros, les femmes veulent que les hommes soient comme elles, mais au masculin, et si possible viril mais pas trop non plus, et plein d'autres qualités qu'on ne retrouve évidemment pas chez bon nombre de nos contemporains.
A l'évidence, soit nous les hommes sommes une sorte de résidu cromagnonesque de nos instincts primaires, soit nous avons loupé un virage, et ça Darwin l'avait pas vu venir. Le pire dans tout ça, c'est qu'élever sa voix contre le feminisme s'apparente à une lutte inégale, et irrémédiablement cataloguée à une préférence pour les "femmes objets". De plus, au nom d'un sacro-saint droit à ne pas être "pute ou soumise", une femme aguicheuse pesterait contre le fait que, lors de virées nocturnes, ces salops d'hommes l'abordent après d'insipides discussions, pensant la voix de la chambre à coucher ouverte. Ces hommes se trompent, aguicheuses mais pas salopes, mais un peu quand même mais il faut pas le dire et si on le dit c'est mal puisque c'est choquer la sensibilité feminine. Il faut savoir que les situations désagréables et précaires ne sont pas la main mise d'un genre, mais bien d'une globalité, puisque les fléaux sociétaires ne sont pas l'exclusivité d'un sexe et ne frappe pas par choix mais aveuglement. Encore hier je voyais un retraité vivant dans la misère aller au resto du coeur, cela aurait été une femme on aurait appelé au scandale?? Son mari mort aurait-il fait que sa condition etait plus misérable qu'un homme dans la même situation? A en croire certaines associations se cachant derrière de vieux clivages moyennageux, oui.
Alors non, mesdemoiselles, mesdames, vous n'êtes pas l'égale de l'homme. Vous avez entamé le capital supériorité d'un genre, faisant de votre cause, noble au départ, un leitmotiv contre toute forme de sollicitation et de reclamation de la part du sexe dit fort. Vous avez l'ascendant, et vous ne vous en rendez même pas compte. Existe-t-il une journée de l'homme? Il y a une journée de la secretaire, mais y'a-t-il une journée du plombier? A force de trop proteger, la société a crée de vraies tigresses en cage, et les médias se servent de ce pretexte pour cette journée de la femme.
Non la femme n'est pas plus faible ni égale à l'homme, elle est différente et indispensable à la race humaine (d'un point de vue absolument objectif et à but non reproductif), puisque sans la femme, nombreuses sont les guerres qui auraient eu lieu car les hommes entre eux ont plutôt tendances à s'entretuer qu'à partager la bière au comptoir. Cessez donc de reclamer l'égalité, les hommes entre eux ne le sont pas, alors pourquoi les femmes seraient l'égale d'un genre inégalitaire par conception?
L.
